Apportez une œuvre d'art unique dans votre espace avec le 'Sam Francis 20ème siècle d'après Tapis artistique velours en laine haute qualité trame en coton nouée main numérotée 1/8 300 x 200 cm'. Ce tapis d'artiste, inspiré par le célèbre peintre Sam Francis, est tissé avec un velours en laine de premium et une trame en coton robuste, entièrement à la main. Édition limitée et numérotée 1 sur 8, chaque pièce est une véritable œuvre d'art mesurant 300 x 200 cm.
Sam Francis | ![]() |
Samuel Lewis Francis, dit Sam Francis, est un peintre américain, célèbre pour sa peinture non figurative, né le 25 juin 1923 à San Mateo (Californie), mort le 4 novembre 1994 à Santa Monica. Il a développé dans ses peintures une nouvelle esthétique de la couleur, une nouvelle conception de la toile, du geste de l’artiste, s’inscrivant ainsi dans les différents mouvements de son époque initiés et développés par des artistes américains tels Rothko, Pollock, de Kooning, Kline. À l'origine, Sam Francis ne se destine pas à une carrière artistique, mais commence des études de médecine et de psychologie. En 1943 il s’engage dans l’armée comme aviateur, mais en 1944 son avion s’écrase en plein désert lors d’un entraînement. Blessé, il est hospitalisé deux années durant. C’est lors de son hospitalisation que le déclic pour la peinture se produit : d’abord pour passer le temps, il finit par la pratiquer par plaisir. Il restera d’ailleurs convaincu des vertus thérapeutiques de l’art tout au long de sa vie, il dira notamment : « Ma peinture est venue de la maladie. J’ai quitté l’hôpital à travers ma peinture. Je souffrais dans mon corps […] et c’est parce que je fus capable de peindre que je pus me guérir[réf. nécessaire]. » À sa sortie de l’hôpital, il entame des études d’art à Berkeley puis en 1946 il part pour San Francisco suivre les cours de Clyfford Still, artiste qu’il a découvert lors d’une exposition. Lui et les autres étudiants de Berkeley furent alors fortement impressionnés car « les images de Still étaient organiques, ses couleurs et surfaces n’avaient rien de commun avec ce que nous avions appris à regarder comme étant de la « bonne » peinture moderne […] quelque chose de nouveau, quelque chose que, pour la plupart, nous ne pouvions définir venait d’apparaître » Après cette première véritable rencontre avec l’art abstrait il part pour Paris vers 1948-1949. C’est là qu’il va rencontrer bon nombre d’artistes américains, que l’on qualifie aujourd’hui d’action painters, qui vont « compléter » sa démarche. Sur des toiles grand format (auquel il passera très rapidement, par besoin) il leur empruntera et mélangera diverses techniques : dripping, all-over, on le qualifie même de tachiste, nom qui fait référence au hasard de la création : la forme est tache, soumise au hasard, et surgie spontanément. |